Spécialités des quartiers japonais

A tout seigneur tout honneur, je commence par la Capitale Tokyo.
Quartier Kappabashi et photos des Kappa:
Le couple:


La maman


Le papa


en mieux
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Le Temple qui leur est dévolu:


Et la main de l'un d'eux

Bravo Edgar, voilà des photos qui, pour le fan de kappa que je suis, me vont droit au coeur. Et j'admire ton flair, ta documentation ou ton guide, car trouver ce temple des kappa tout seul n'est pas à la portée du touriste moyen...
As-tu aussi visité les magasins de porcelaine et ustensiles de cuisine de cet endroit ? Certains vendent des kappa... et ont souvent une reproduction miniature du kappa doré que tu montres, mais qui n'est pas à vendre.

Oui j'ai revu le quartier, mais comme je l'avais déjà vu plusieurs fois et que j'ai fait une fausse manoeuvre en téléchargeant les vidéos que j'avais faites, je n'ai conservé que les photos suivantes dont la plus célèbre est la tête du chef trônant sur un toit. On peut suivre la progression de mon petit périple avec les photos suivantes.

Entrée du quartier:


Indication d'adresse


Publicité dans une vitrine:


Indicateur de direction


Etrangeté sur une façade commerciale face à l'entrée du quartier des Kappa


Mais bon nombre de ces photos ont déjà été postées sur Japon Ichi.
Pour vous répondre, Ume, j'ai eu de très bons guides parlant français, même si c'était avec une énorme bonne volonté. Et puisque j'en ai l'occasion, sans être certain qu'ils viennent sur Japon Ichi, je les remercie très vivement de leur amabilité et de leur disponibilité, en un mot de leur amitié qui ne se dément pas au fil des années.

Merci a Edgar pour cet utile rappel: sujet bien qu'un peu ecule a force d'avoir ete montre encore et encore dans les reportages sur Tokyo, le quartier de Kappabashi demeure cependant un excellent lieu de depaysement touristique non pas par l'exotisme, mais par la bizarrerie de tout ce qu'on peut y voir et, pourquoi pas, y trouver a acheter.



Les plats en resine peuvent paraitre une idee loufoque ou tout au moins superflue, mais plus je "vis" ce moyen fort pratique de se faire une idee d'un plat que l'on ne connait pas encore, plus je me dis qu'il est dommage que l'on ne dispose pas de par le vaste monde de ce moyen simple et efficace d'aider le client a s'en sortir, du moins dans les etablissements populaires. Je me demande d'ailleurs dans l'hypothese ou l'on voudrait produire nos propres reproductions de plats en France, si pourraient se trouver des artisans d'assez habiles pour reproduire des plats typiquement francais: le cassoulet, pas facile. Les trippes a la mode de Caen, pas evident. Le tablier de sapeur, passe encore. Les oeufs en aspic, voila qui devrait etre joli. De quoi epater le nippon qui deja, n'en revient parfois pas de ce qu'il peut trouver chez lui... Et nous sommes faits pour le comprendre !

Effectivement on reste ébahis devant la véracité des plats présentés dans les vitrines des restraurants et que l'on trouve à profusion à Kappabashi. Mais il y a aussi quelque chose de très surprenant, c'est tout ce qui touche la coutellerie


Car ici, foin des couteaux à steak style Laguiole, mais de solides rapières de cuisine au manche parfaitement équilibré et à la lame brillante de menace